Wyliä marchait lentement, précautionneusement, appuyée sur un bâton. Il lui irritait les partit de sa main qui n'était pas protéger par ses mitaines gris- bleue, élimées et râpées. Elle ne voulait pas perdre une goutte d'energie vitale dans ce pays ou la vie était si rare. Elle était en grave manque, l'esprit grand ouvert qui aspirait toutes traces de vie dans ses forêts malsaine. Le ciel rougeâtre et des nuage acéré diffusait une lueur suintante. Luon, incroyablement maigre trottinait sur ses talons... Elle n'avait plus la force de le porter... Elle commença a moins bien respirer. Elle avez peur de garder comme ça l'esprit ouvert mais il le fallait. Elle prit la vie d'un misérable vers rouge mais ne peut faire que quelques pas avant de s'effondrer, elle eu juste le temps de voir un tigre blanc immaculé avant de sombrer dans l'inconscience en murmurant
"- Surement un rêve...

J'ai mis ma capuche, hors de question que je me brule ma peau ! Au bout d'un moment, une personne, inconsciente, un chat tourner autour d'elle. Bolérus s' est couché pour me permettre de descendre, il est immense lui ! Accroupie, près d'elle, j'hésiter avec 2 choix. Je l'ai prit comme un sac a patate, pose sur le dos de Bolérus, costaud aussi ! Et pris le petit chat et je l'ai poser sur le dos de Bolérus près de sa maîtresse.

Quelque minute plus tard, je suis aller dans une grotte. Il fessait moin chaud ! Une fois descendu, j'ai poser le corps de cette jeune fille a terre avec son chaton. Bolérus était a 1mètre d'elle, et moi a l'entrée de la grotte, a attendre que l'invité ce réveille.

Je suis dans une grotte. La fraîcheur se pose agréablement sur ma peau. Je flotte, paisible, presque déconnectée a la frontière de la mort et de la Réalité Noire. Mon amie la mort... Nous avons si souvent failli entremêler nos chemins... Je t'ai touché une fois, m'apprêtant a te rejoindre, à sombrer dans tes doux abîmes... Mais, cruellement tu t'es détournée de moi, chagrin immense... Tu as cueilli ma mère et tu m'as refoulée, brisée cruellement. Chagrin... D'amour ? Toi seule est éternelle. Je t'es approcher plusieurs fois, t'effleurant du doigt... Te rejoindre... Embrasser ta douce noirceur, apaisé... Mais chaque fois tu m'as repoussé, jouet brisé qui ne t'amuse plus... Vieux jouet cassé, rompu, fracassé, abattu, démolit, fêlé... Mainte fois et maintes fois réparée. La vie, la souffrance, la peine, l'acidité a toujours été plus forte... Je ne t'avais approcher qu'une fois d'aussi près... La première fois... Le jour ou ma vie a basculer... T'en souviens tu ? Tu t'es approcher par derrière... J'avais peur... Le frisson dérangeant des premier rendez vous... J'étais prédestinée a toi...
Comme nous tous me dira tu. Tu as raison, mais je te dirai que le plus intéressant dans une histoire d'amour, c'est les première approches, les effleurement, les sourires gênés... Nos doigts se sont caressés, doucement... Il n'était pas encore temps... Je ne pense qu'à toi... Nos âmes se sont elles déjà entremêlées ? Je ne sens rien. Apaisée. A tu déjà pris ma vie ? J'ai filé, courte comme une étoile filante. Éphémère éternité.
La Vie tire sur une manche que je ne possède pas.
Qui est tu petit être acide, doux amer pour me dire de vivre, de ne pas sombrer dans ses bras... Aurait tu peur de la mort ? Tu est forte Vie... Je détache mes doigts de la mort lançant un dernier regard, un dernier baiser...

A la prochaine...

Tu me montre vie ingrate et muette des tâches de couleurs. Sur fond noir... Mes souvenirs me reviennent... La réalité Noir. Tu veux me voir quitter ce monde ?
Mais là... Impossible... Des tâches de lumières... Je m'en abreuve. Vie délicieusement fraîche... La mort se dissous... Encore une fois tu a été plus forte... Un corps... Je retrouve le chemin... La porte s'ouvre... Je suis Wyliä.



J'ouvre les yeux. Je ne dois pas avoir fais trop de dégâts. La jeune fille et le tigre n'auront même pas mal à la tête. La lumière blafarde de la grotte me blesse. Les questions se bouscules dans ma tête. Ou suis je ? Qui êtes vous ? Ou est Luon ? Et tant d'autres... Pourtant je me contentait d'un mot :
"- Merci

J'aimais pas attendre, j'avais une seule patience pour une seule personne dont je hais tellement. Assise au bord de la grotte, je regarder le paysage. Aucun signe de vie, désertique. Je me suis levé, toujours ma capuche cachant mon visage, je préfère que personne vois mon visage. J'ai commencée a faire un feu, ramassant les branches d'arbres morts, et a la méthode ancienne pour le feu. Une fois fait, j'ai vu que notre très chère invitée c'est réveiller. Je me suis assise contre une paroi de la grotte, contre le dos. Elle ma remercier, je sentais qu'elle voulait poser des questions, j'ai simplement répondu :

- De rien

J'étais pas habituée a dire sa. Bolérus a ramper vers moi, je l'ai caresser sa tête et regarder l'invitée, attendant que les questions vienne.

Ma tête avait lourdement retombée par terre. L'air, source de vie chargé de poussière m'arrachait la gorge a chaque respirations... De plus en plus faible. M'as tu, Vie, arrachée des griffes de la mort pour m'y remettre ensuite ?
Plus d'energie vitale. Mon corps et mes brides d'esprits se sépareront...
Je suis seule et je vais mourir. Je ne perçois plus Luon, les sens amoindris... J'ai... Soif... Le ciel emplit de rouge, mon sang qui quittera mon corps. Bientôt. Tu rodes mon amie, quelques secondes ont suffit pour que tu revienne... Alors, a quoi bon me ramener ? Suis je la balle d'un jeu entre la Vie et la Mort ? Éphémère intensité contre l'inconnu ? Le monde devient noir sans que je ferme les paupières. Réalité Noire, notre vieux point de rendez vous. La Vie est proche de moi, elle s'accroche. Une tâche minuscule de lumière. Un mot me vient a l'esprit, energie vitale, cette fois j'en prend suffisamment, la lueur est aussi forte que je suis frêle. Et je suis morte... Non... Plus maintenant, je vit. Le temps viendra. Mais pensée s'effacent, balayée par une des leurs, obsédante.
"- Soif...
Ma gorge est si sèche. Je n'ai pas prit assez d'energie vitale pour me lever, il en fallait pour m'arracher au doux baiser de la mort.

Elle semblait perdue, et me remarquant pas, même son chat. Elle avait soif si j'ai bien compris, j'ai sortis une gourde et je lui est tendue :

- Tiens, bois

Je regarder ensuite le chat, j'ai eu pitié de lui, il voulait que sa maîtresse le voit. J'ai ensuite regarder le feu, j'aimais regarder le feu, entendre sa berceuse de crépitement et sentir sa chaleur nous rassurer. Continuant a caressée Bolérus, qui ronronner, j'ai souris. J'ai mis un foulard bleu pour confondre avec ma tenue dont mes yeux se sont confondu. J'ai repenser, comment vais-je me présenter devant mon père ? Il ma jamais vu, enfin, quand j'étais qu'un nourrisson. Et comment il avait eu se sang froid pour avoir ossez tuer sa femme ! Ma mère !
J'ai regarder la jeune fille.

On m'a tendu une gourde. De l'eau ! Le précieux liquide voulait dans ma gorge, apaisant. Luon est monté sur mes genoux. Je suis passé dans la Réalité Noire pour déceler la moindre trace d'energie vitale ancienne. Il y en avait un peu. J'en ai prit la moitié et transmit le reste a Luon qui était à côté de moi, les yeux inquiets. Il est devenu un peu moins squelettique, et est monté se blottir sur mes genoux en ronronnant.
Je me suis adossé contre la parois.
J'ai regardée autour de moi. Une silhouette toute vêtu de bleu se tenait à côté d'un tigre. J'ai fixée le tigre pendant quelques secondes, puis j'ai baisser la tête en signe de soumission. Je n'avait pas échappée à la mort pour être dévorée par un tigre !
"- Pourriez vous me dire qui vous êtes s'il vous plait ?
"- Je vous doit la vie, je vous remercie de m'avoir sauvée, si je peux vous aider en quoi que ce soit, je le ferai. J'avait dit cela d'une voix la plus adulte possible, je ne voyais que les yeux de la jeune fille qui m'avait donné à boire, mais il été absent du rougeoiement des yeux des vampires.

J'ai arrêter de caresser Bolérus, qui a arrêter de ronronner. Je me suis levée, et pris une parole calme :

- Je m'appelle Aëllicia, et c'était normal de t'aider, je renverse la question maintenant

Bolérus c'est levée a son tour, lentement, il été fatiguer, un peu. Il a bâiller montrant ses cros et c'est étirer, quel fainéant ! Et il s' est coucher, en posant sa tête sur ses pattes et regardant la jeune fille. Je sentais le métal de mes dagues, mélanger le froid et le chaud, c'étais pas le tiède, sa fessait tout bizarre. J'ai regarder dehors 2 paysages se confondait, cette forêt dont le désespoir est chez lui, et ce paysage volcanique avec ses rivière de flammes. Ou est-t-il ?
Je suis revenue a la jeune fille, quel est son prénom ? J'attendais qu'elle me répond.

La jeune fille masquée me regardait. Le tigre s'est couché sur le sol.
- Je m'appelle Aëllicia, et c'était normal de t'aider, je renverse la question maintenant
Aëllicia, puis ce que s'était à si qu'elle se nommait, me fixait, le regard vide, absent, rêveur. Je sourit.
"- Je m'appelle Wyliä et je te remercie beaucoup. Voici Luon. Quel est le nom de ton tigre ?

[deso texte court ^^']

Wyliä ... ainsi c'est son prénom ? Charmant. J'ai pris un regard plus présent, et j'ai regarder Bolérus et j'ai répondu a sa question sans la regarder :

- Bolérus, et t'inquiète pas, il va pas te mordre tant que tu lui fait pas de mal.

Je me suis accroupis, je regarder Bolérus comme un ami, un membre de ma famille. Je le conprenais et il me conprenais. J'ai mis ma main sur la tête de Bolérus et caressant de droit a gauche, d'une oreilles a l'autre. Et j'ai regarder Wyliä :

- Approche, caresse le si tu veux.

Aëllicia s'est accroupi près de son tigre.
- Bolérus, et t'inquiète pas, il va pas te mordre tant que tu lui fait pas de mal.
J'ai sourit, en faisant semblant d'être effrayé. Je m'étais déjà soumise à Bolerus, il me respectait comme une sœur inférieur dans la hiérarchie. Si elle avait l'intention de m'attaquer, je devais cacher mes atouts. Elle caressait la tête de Bolérus, il y avait une grande complicité entre eux.
- Approche, caresse le si tu veux.
J'ai du mobiliser tout mon sang froid pour ne pas faire une tête pitoyable.
"- Non... Je ne peux pas.
Ce qui était la plus stricte vérité. Je ne pouvais tout simplement pas. Il était plus fort que moi, donc notre supérieur hiérarchique a moi et Luon. Et puis par fidélité avec Luon ! C'était ma seule famille.
Aëllicia avait l'air confiante en son tigre. Je savais qu'il n'allait pas m'attaquer mais tout contact risquerais d'être perçu comme un défi. Même un simple coup de patte de mépris pourrais me tuer ! Et me forcer a démontrer mes... Talents.
"- Non, vraiment désolé, j'ai toute confiance en vous et Bolerus, mais je ne peux pas. En vérité, j'avais plus confiance en Bolerus qu'en cette personé qui ne me dévoilait pas son visage.

J'ai regarder Bolérus avant de me lever, et de dire d'une voie calme et mon regard présente

- Escuse moi si je dois cacher mon visage, mais je préfère que les personne ne voit pas mon visage

Dans un mensonge, il y a toujours une part de vérité. Et aussi, c'étais car je ne voulais pas qu'elle voit mon visage, j'avais honte d'être un être dont je n'ait même pas son symbole, les ailes et de plus, être la fille d'un meurtrier. J'ai soupirer. Bolérus c'est levé, et a caresser sa tête sur ma main. Il voulait que je devais pas m'en faire ? Il c'est ensuite rallonger, et j'ai compris qu'il voulait que je monte. Une fois montée, il c'est relevé et a regarder Wyliä et Luon et a fait un sorte de sourire. J'ai dit :

- je dois partir, au revoir ...

Et il a sauter a la sortie et a descendu en courant. Je rester quand meme attentif pour entendre peut-être la voie de Wyliä qui voulait me retenir ...

- Escuse moi si je dois cacher mon visage, mais je préfère que les personne ne voit pas mon visage"
Tu dois avoir tes raisons, je le ferai aussi si ça ne rendez pas les gens si louche ! On te remarque instantanément ! Surtout si, comme moi tu as la taille d'un enfant de 8 ans. Bolerus c'est levé, Luon et moi avons produit un son de soumission pour ne pas ce faire attaquer. Il s'est rallongé. Aëllicia est monté dessus est il nous a fais un sourire de domination bienveillante et de protection qui voulait dire : bienvenue dans la meute !
"- je dois partir, au revoir ..."
Ils sont partit. Je voulais me reposer encore un peu mais Luon m'a regarder et a légèrement miauler. Je lui ai rendu son regard.
"- C'est bon, on y va ! "
J'ai crié de ma voix aiguë de petite fille :
" Attendez nous..."

J'ai entendu Wyliä crier. Bolérus a sauter et fait un quart de tour avant d'atterrir et expulser les cailloux sur son passage. J'ai levé la tête pour regarder Wyliä, et Luon a côté. Sans que je le demande, Bolérus a fait demi tour pour remonter jusqu'à Wyliä, je savais pas ce qu'elle voulait. Bolérus étais puissant, il aimait courir. Une fois a hauteur, Bolérus a ralentit, et quand il c'est arrêté, j'ai regarder Wyliä :

- Oui ?

"- Oui ?" C'était un oui neutre, mais je le ressentent comme blasé et agressif. Je me contentait de baisser les yeux et laisser parler Luon a Bolérus, les doigts entremêlés à son pelage gris, signe que je le soutenais et que ma parole valait pour deux. Je savais a peut près ce que Luon avait dit, même sans le comprendre.
"- Meowww... " (Nous nous soumettons a toi. ) Luon a baissé les yeux et les oreilles, je me suis inclinée, mes oreilles de neko baissé aussi. Je savais instinctivement ce qu'il fallait faire.
"- maiou, niaaa..." (Tu nous a accepter dans la meutes, ton humaine dominera la mienne sans lui faire de mal, tu me dominera...)
"- Meion, miauo..." (Tu à en revanche des engagements auprès de nous, protection, paix, je te demanderai d'étendre ta protection a ma Wyliä, ou de garantir que ton humaine le fera. )
"- Meaou..." (Tu ne dois pas nous abandonner, nous devons partir de nos propre ailes, quand l'heure sera venu pour nous de chasser les oiseaux) Je sentais que ce que disait Luon avait un poids particulier, des paroles rituel. Allez chasser les oiseaux... Je du me retenir de regarder mon dos ou mes ailes fines et fragile étaient caché par une veste.

Bolérus c'est couché et mis la tête sur ses pattes pour qu'il soit a la hauteur de Luon. Toujours assise, j'écouter la discussion, je me suis allonger sur le dos de Bolérus. Il écoutait avec intention, moi aussi, car je comprenais. A la fin, je me suis mis assise, et Bolérus c'est levé et a tourner la tête pour avoir un oeil qui me regarde est j'ai hochée la tête. Bolérus a regarder Luon :
" Grrrr ... " ( A partir de maintenant, vous faite partis de ma meute, nous vous protégeront jusqu'à vous serais prêt a vous envoler de vos propres ailes ! )
Il c'est recoucher est je suis descendu :

- Moi aussi je vous accepte.

J'ai regarder Bolérus, c'est relever pris une posture fière et a bien rugit ! Après il ma regarder et j'ai compris, sans qu'il se couche, je suis montée et regarder Wyliä et Luon :

- Bolérus veut que vous montez, il est puissant, il peut supporter nos poids

" Grrrr ... " ( A partir de maintenant, vous faite partis de ma meute, nous vous protégeront jusqu'à vous serais prêt a vous envoler de vos propres ailes ! ) je me relevait et Luon dressai les oreilles, à l'écoute, comme toujours. Avec son air maigre, il avait vraiment l'air d'un chaton perdu. J'ai regarder Aëllicia. Elle est descendu de Bolerus et a simplement dit :

- Moi aussi je vous accepte.

Bolerus a rugit, un rugissement joyeux, fier. Fierté d'avoir des chatons a prendre sous sa patte ? Clameur pour signaler que nous somme sous sa protection ? Je ne sais pas. Moi aussi j'était fière d'avoir des chefs de meute tellement puissant. Aëllicia avait l'air au moins aussi redoutable que Bolerus. Nous allions beaucoup apprendre. Je remettrai à plus tard mon travail chez les vampires, en plus, je n'aime pas qu'on boivent mon sang.
Aëllicia est remontée sur Bolerus. J'ai soulevé Luon et je l'ai mît sur ma lourde sacoche.
- Bolérus veut que vous montez, il est puissant, il peut supporter nos poids.
Bolerus lui arrivait au épaules. Était ce un test de voir si j'était capable de monter ? Je me savait incapable de réussir un tel saut te je ne voulait pas faire mal au tigre en s'accrochant à ses poils. J'ai donc ôté ma veste puis je l'ai fourré dans ma sacoche. J'ai défroissé mes ailes qui était plié dans mon dos depuis sept jour. Je les ai déployé avec un immense plaisir, fines ailes si facile a cacher et a déchirer. J'ai sauté, et d'un puissant battement, je me suis propulsé sur le dos de Bolerus.
J'ai remis ma veste.

Une fois Wyliä montée, Bolérus a tourner et c'est mit a courir, son ventre toucher presque le sol, pour aller plus vite. Le paysage défilé devant nos yeux, la forêt mortes fessait place au paysage volcanique. J'ai regardée Bolérus, qui a senti que je le regarder, il avait compris. J'ai tourner la tête du côté droit pour avoir un oeil sur Wyliä et Luon :

- Arrochez-vous

Ensuite j'ai regarder droit devant moi, Bolérus n'avais pas le droit a l'erreur. Une fois arriver a une petite rivière de lave, Bolérus a sauter. L'atterrissage ? En douceur ! Prochaine : La Même mais un peu plus grande. Une fois toute les rivière de lave sautés, Bolérus a regarder les rivières et a pousser un rugissement de triomphe. J'ai regarder derrière moi, j'ai souris derrière mon visage :

- Ça va ?

Vitesse. Je ne pouvais dire que cette chose, cela envahissait mes pensés. Mes cheveux transparents giflaient mon visage alors que j'étais sur une terre morte, dénué du moindre souffle de vent. Je sentait se former une boule au creux de son estomac, un mélange d'émerveillement et de peur. Je sentait les muscles puissants de Bolerus courir sous sa peau.
"- Arrochez-vous"
Je vérifiait que Luon allait bien, il était blotti dans sa sacoche, seule sa tête dépassait et s'enivrait de vent.
Soudain l'atmosphère se fit plus chaude. Bolerus sauta au dessus de la rivière de lave avant que j'ai pu avoir peur. Le tigre en a passé d'autre mais j'avais toute confiance en lui. Aëllicia s'est tourner vers moi et m'a demander :

- Ça va ?
J'ai sourit.
"-Oui"
Oh oui j'allais bien, j'étais tellement fière d'être dans cette meute...

J'ai souris, et regarder la tête de Bolérus*

- Toi, tu as toute les raisons pour être fière la !

Et Bolérus c'est remit en route. Je n'aimais pas trop cette région, la mort étais de partout. Mais sinon, aucune trace de ce que je chercher ... Faudrait peut-être qu'un jour, je le trouve. Je me suis mis assise en tailleur sur Bolérus, qui continua tranquillement, il était habitué que je changer de position, voltige je fais ! Oui mais faut aussi que j'arrive a faire d'autre figure pour les attaques surprise par exemple ... J'ai regarder le ciel, il était difficile de savoir s' il fessait jour ou nuit, un ciel avec des nuages rouge et le ciel noir. En 1 seul mot ? Triste. Bolérus trottiner, soucement, sa fessait sûrement mal au fesses quand ont est pas habitué ! Moi même j'ai eu mal la 1er fois, j'ai du mettre quelque jour avant d'être habituer. Bolérus est le chef du voyage, j'ai jamais su ou il allait mais je le fessait confiance.

Comme par écho à mes pensés Aëllicia dit :

- Toi, tu as toute les raisons pour être fière la !

C'était vrai. La région avait beau être morte, le ciel et la terre ensanglanté et torturés, teintés de rouge, souillait de poussières, j'étais heureuse, si heureuse... Des mots me sont revenu à l'esprit. Famille... Meute... Espoir... Protection... Je ne savais pas ou Bolerus allait mais j'avais totalement confiance. J'ai fermé les yeux. Cette surveillance éreintante de touts les instants n'était plus nécessaire. Je commençait en revanche a ressentir une douleur tenace au postérieur, mais ce n'était rien à côté de cette sensation de vitesse et confiance qui dévalaient dans mon cœur, tranquille. D'ailleurs, c'était la nuit et mon organisme de petite fille sentait ses yeux se fermer. Je me suis roulée en boule sur la fourrure chaude de Bolerus, mon petit compagnon, frère, lové dans mes bras. Le sommeil m'a rapidement emporté dans ses bras doux.

Sentant que sa remuer derrière, Bolérus c'est arrêté près d'un arbre au tronc épais. J'ai regarder cette arbre, il devrait être majestueux si il y avait de la vie dans cette forêt mortes. Bolérus c'est couché près du tronc d'arbre, une fois descendu, j'ai pris Wyliä qui dormez et poser sur le pelage épais et confortable de Bolérus. Je suis aller chercher le bois pour faire le feu. J'ai pris des moyen ensuite des petits, et 3 ou 4 gros. Je suis retourner et j'ai commencer a faire le feu, j'ai mis un gros et les moyens au tour, pris 2 pierres cognant d'un coup sec et même en frottant et des étincelles sont apparu, et doucement le feu c'est nourri du bois. Je me suis levée et aller sur une racine de l'arbre et sautée sur la branche en haut, et encore un peu plus pour arriver a une branche qui est solide et s' assois, les jambes tendue et le dos contre le dos. J'ai enlevée ma capuche et le foulard et laisser la moidre lumière caresser ma peau. J'ai regarder le ciel et laisser m'emporter dans le néant.

Wyliä dormait d'un sommeil paisible. Un sourire doux animait son visage pale. Elle ne se rendait pas compte qu'autour d'elle, on s'agitait pour faire un feu. Pour une fois elle fut un doux rêve confus au lieu de ses habituels cauchemars criant de vérité.

*rêve de Wyliä*
Luon, devenu blanc à rayures noir me pousse. Je suis sur une balançoire. Je ris et j'ai la sensation de voler. J'étends les bras. J'ai les cheveux noir et pas d'ailes ni d'oreilles de chats. J'éternue, une petite boule d'énergie habillement réceptionne par Luon sort de mes doigt. Une voix féminine et familière nous appelle.
Un visage ressemblant au mien, plein de tendresse sors de l'embrasure de la porte. Il porte une grande cape bleu. Le rêve s'efface, comme inexistant.
Un autre prend sa place. Je cours, le soleil caresse mon visage. Je me sens libre. Je murmure un mot :
"- Meute..."

Perdue dans l'océan du néant, espérant de voirs les étoiles malgré la fumée qui ne voulait pas que je les vois. Le regard vide, absent, je l'avais souvent. Fermant les yeux et pris une grande inspiration, et fit le vide. Maintenant, faut que j'essaye de penser comme mon père ... non, assassin, je ne sais même pas comment l'appeller. Et puis comment penser comme lui si je le connais pas ?
Repris les yeux présente, je me suis mis assise, les pieds dans les airs, les balançant dans le vide comme une petite fillette sur une balançoire dont elle touche pas le sol. Le vent c'est levé, et fit flotter ma cape au gré du vent. J'ai sautée et je me suis rattraper a la 1er branche du bas, posant un pied et l'autre. Sautant de la racine j'ai vu que Wyliä dormez paisiblement, j'ai souris et Bolérus regardant le feu. J'allais mettre ma capuche et mon foulard et j'ai pensée, seulement ma capuche. Une fois mis j'ai mis une couverture et aller m'assoir près du feu, sorti ma dague la ou elle est ranger et commencer a m'amuser avec le feu. Le métal ne réagit pas, prenner pas une autre couleur. Ensuite je l'ai ranger a sa place. Assise en tailleur, posant mes coudes sur mes genoux et avec mes main j'ai remis mon foulard, regardant Wyliä, Luon et Bolérus, qui dormais a présent, dormir, en face de moi et j'ai regarder le feu, maintenant de nouveau sans visage.